L’association des douces ballades folk-blues de Piers Faccini et des mélodies scintillantes du griot Ballaké Sissoko, héritier de la tradition mandingue, et maître de la Kora, n’allait pas forcément de soi. C’était sans compter sur la curiosité de ces deux-là, et leur vision commune de la musique et de la rencontre.