Nourris du répertoire classique persan et de compositions contemporaines iraniennes et kurdes, les deux compagnons de route du festival font délicatement dialoguer cordes et percussions. Aux setâr, shouranguiz, daf, zarb et udu, ils cultivent un moment d’humanité et de partage, éclairé de lectures de poèmes de Mowlânâ Rûmi à Roberto Juarroz, avec une virtuosité prodigieuse.