Elle a chanté à l’Opéra de Sydney, au Queen Elizabeth Hall de Londres, à Central Park à New-York et tout autour du monde. Avec un sourire aussi pur que le ciel, c’est en toute amitié qu’elle accepte de glisser sa voix majestueuse entre les pierres antiques du théâtre romain.
Chaleur intense de l’artiste, chaleur extrême de l’été arlésien, une corde du kamele n’goni n’y résiste pas… Peu importe. Cette après-midi là, quelques heures à peine avant de monter sur scène, une mélodie traditionnelle Wassoulou accompagnée par Abou au n’goni, l’instrument sacré de la confrérie des chasseurs (Donso) invite à laisser s’écouler paisiblement le moment présent…